A quoi ressemble un document DIML |
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Le plus souvent, à un fichier HTML ! Enfin, pour les documents simples. Mais le but du DIML, étant justement d'isoler la complexité du contenu; il sera donc possible de séparer les fichiers dans lesquels le contenu est codé comme un document simple, des mécanismes plus complexes de programmation de l'apparence, mais ceci est le quatrième parcours !
Toujours est-il que l'arrivée du DIML dans une page WEB n'en changera pas la lisibilité, au contraire de certains langages de script. Mieux encore, si certaines bonnes habitudes de construction sont respectées, la lisibilité des pages en est nettement améliorée.
La différence avec le HTML vient de l'utilisation de variables dans le cours du code HTML, sous forme de balises encadrées par le marquage <% ... %>.
Voici un exemple de source DIML :
source de ex1.dim
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Analyse succincte
L'exemple précédent définit un template nommé EX1 à la fin du document (ceci n'est pas important car tous les templates sont collectés avant le traitement du contenu proprement dit). Le contenu du fichier, après quelques commentaires HTML, définit un document HTML qui appelle le template %EX1%. On remarque ici l'utilisation d'une variable STYLES_ROOT_URL, importée automatiquement par le processeur, et que nous retrouverons très souvent dans ces documents. En visualisant le source HTML produit par l'exemple, vous découvrirez sa valeur.
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